Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur la plaine ?
Ami, entends-tu le bruit sourd du pays qu'on enchaîne ?
Ohé, Francs-tireurs, c'est l’appel de l'alarme !
Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.
Montez dans le véhicule, descendez dans les rue, camarades,
Sortez des cartables les fusils, la mitraille, les grenades,
Ohé, Francs tireurs, à la balle et au couteau, tirez vite !
Ohé, Francs tireurs, protège ton frères et cour vite !
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères,
La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.
Il est des pays où les gens au creux des ordis font des rêves.
Ici, nous, vois tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève.
Ici chacun sait ce qu'il veut, ce qu'il fait quand il passe.
Ami, si tu tombes un ami sort de l'ombre à ta place.
Demain du sang noir séchera au grand soleil sur les routes.
Sifflez, compagnons, dans la nuit la Liberté nous écoute.
Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur la plaine ?
Ami, entends-tu le bruit sourd du pays qu'on enchaîne
Ami devient Francs tireurs ainsi tu sera libérateur
rediger pour les FT par grizzly dee verkovny> copyright2007